Série L’Adultère « Mickael » (Partie 31) : Carole Veut Se Faire Baiser. Saura-T-Il Résister ?. Partie 1/2

Je m’appelle Mickael, je vais vous raconter une histoire que j’ai vécu dans les années 80. J’avais à cette époque 32 ans, j’étais marié depuis deux ans avec mon épouse Josiane que j’adorais et qui venait de me donner un fils l’an passé. Nous habitions à Lyon où depuis cinq ans, je travaillais comme dessinateur projeteur dans un grand cabinet d’architecture renommé. Je ne m’étais encore jamais occupé d’un chantier seul, néanmoins suite au départ en retraite de mon chef, avec l’expérience que j’avais acquise, mon patron me lança dans le grand bain.

Nous avions été contactés par Mr T, un gros client qui possédait de nombreux biens dans le Rhône. Il avait un grand immeuble près de la Fac de droit non loin du parc de la tête d’or. Ce bâtiment devait conserver toutes les façades, à l’intérieur tout devait être démoli afin de faire des studios ou F1, afin d’être loués meublés pour des étudiants, avec un immense appartement en terrasse sur toute la surface. Pour l’avant-projet, je n’avais eu affaire qu’avec Mr T, cependant après avoir obtenu le marché, celui-ci me présenta sa fille Carole T. Cette jeune femme avait mon âge, comme pour moi, son père lui faisait faire ses premières armes, elle était en charge de gérer entièrement cet immeuble.

Lorsque je rencontrais Mlle T, cette jeune bourgeoise, même si ce n’était pas le type de femme que j’affectionnais, était très jolie et séduisante. Toujours en talon haut, habillée avec classe, avec des bas noirs, vêtue le plus souvent en petite jupe noire ou marine avec un chemisier blanc ou clair mais aussi en tailleur assez court, elle était très sexy. D’autant plus qu’elle avait de très jolies jambes et le savait car elle aimait les montrer lorsqu’elle les croisait ou les décroisait sans cesse en face de moi. Lors de nos premiers rendez-vous, j’avais tout de suite compris que je lui plaisais, c’était une fille gâtée, qui devait obtenir tout ce qu’elle désirait, cependant, aimant trop Josiane, je n’avais aucune intention de la tromper.



Les travaux avaient débuté depuis plusieurs semaines, toute la démolition était réalisée, les dalles étaient reprises et le plaquiste avait tracé sur le sol toutes cloisons. Après la réunion de chantier, Carole voulut refaire le tour du chantier sur l’appartement terrasse avec moi, soi-disant qu’elle avait remarqué quelques anomalies. Nous étions seuls au dernier étage, au niveau du couloir séparant la cuisine au salon, lorsque par surprise, elle me poussa gentiment contre le mur et se plaqua contre moi. Ses bras autour de mon cou, elle posa ses lèvres contre les miennes, afin de m’embrasser mais je n’ouvris pas ma bouche et la repoussai calmement en lui disant :
— Voyons Mlle T ! Que vous arrive-t-il ?
— Je ne te plais pas ? Me répondit-elle ?

Nous restions face à face, elle se collait toujours à moi, Je ne voulais surtout pas lui déplaire, son père était un de nos principaux clients, je me devais d’être le plus diplomate possible. Afin qu’elle ne se fâche pas, je répondis qu’elle était ravissante mais que ce n’était ni lieu, ni l’endroit pour faire ce genre de chose : « Ce soir chez-moi alors ? » Insista-elle :
— Je suis vraiment désolé Mlle T mais je suis marié enfin !

Vu la tête que fit Carole lorsqu’elle tourna les talons et descendit l’escalier, il n’y avait aucun doute, je l’avais fâchée. En y réfléchissant toute la semaine, je me disais qu’il n’y avait que moi pour refuser ses avances car il était évident que cette super nana se serait faite culbuter par le premier type ayant eu cette chance. Cependant, elle ne s’était pas plainte à mon patron, c’était un peu ce que je craignais avant de la revoir le mardi suivant. Malgré cela, lorsque je l’avais vu déboulée le lundi à midi moins le quart, je m’étais mis à douter, j’étais persuadé qu’elle venait faire des reproches sur moi auprès de ma direction.

Mon appréhension retomba immédiatement quand je la vis entrer dans mon bureau, son visage éclairé par un large sourire en me regardant.
Elle était restée debout les deux mains posées sur la plaque de verre et en me fixant dans les yeux, elle me dit de but en blanc :
— Écoute Mickael, nous nous connaissons depuis six mois et nous sommes du même âge, nous devrions nous tutoyer. Je tiens beaucoup à m’excuser, tu as dû me prendre pour une folle, mardi dernier. Je ne sais pas ce qui m’a prise ce jour-là mais ta réaction fut remarquable, tu es un homme bien. J’aimerais devenir ton amie. Si tu veux bien, pour me faire pardonner, je t’invite à déjeuner. S’il te plait ne me dis pas non cette fois.

Je restais sans voix, Carole était très belle, c’était la première fois que je la voyais sans un surplus de maquillage. Je ne savais pas quoi répondre, ces propos m’avaient touché. Pourtant désirant lui donner une leçon, j’avais l’intention de lui refuser. Malgré cela, s’apercevant que je ne prenais pas de décision, lorsqu’elle passa derrière moi me posant sa main sur mon épaule en insistant : « Allez Micka dit oui. » je fus presque dans l’obligation de répondre dans l’affirmative. Elle me fit une bise sur la joue et me dit : « Tu es trop chou. Viens je t’emmène dans un petit bouchon lyonnais. »

J’avais pensé qu’elle me lancerait de nouvelles brandilles mais nous n’avons parlé pendant le repas que de travail et notamment des délais. Le chantier était en cours de finitions et il restait encore au moins trois mois de travaux. J’avais appris que tous les meublés sans exception, devaient être loués qu’à des étudiantes et que Carole avait déjà rempli les trois quarts de l’immeuble par des jeunes filles de bonnes familles et qu’elle n’aurait aucune difficulté à louer le reste car elle avait son carnet de demande rempli :
— Ce n’est qu’une question de temps, j’ai douze candidates pour quatre studios. Par contre je suis à la recherche d’une gardienne d’immeuble et je n’arrive pas à me décider.

Je ne lui avais pas dit que cela pouvait nous intéresser, Josiane venait de perdre son emploi et résidants dans un petit logement à vingt kilomètres dans la campagne, nous souhaitions nous rapprocher de la ville.
Les tâches étaient relativement simples ; Nettoyage et entretien des parties communes intérieures et extérieures ; Sorties et entrées des poubelles ; Réception du courrier et des paquets, distribution aux personnes destinataires ; Accueil et contrôle des interventions faites par les entreprises extérieures. Lorsque j’en avais parlé à Josiane, celle-ci me demanda de jouer de mon influence, elle tenait absolument à occuper ce poste, elle en avait toutes les compétences.

Ne désirant pas être redevable à Carole, je lui en avais seulement parlé sans lui montrer notre réel intérêt. Elle avait reçu Josiane en entretien qui selon cette dernière s’était bien déroulé, Mlle T devait la recontacter car elle avait de nombreuses candidatures à étudier. Toutefois à trois mois de l’échéance, mon épouse après sa seconde entrevue avec Carole, n’avait toujours pas de nouvelle, elle me harcelait afin que je fasse le nécessaire, elle voulait obtenir coute que coute ce poste. Le mardi suivant, après la réunion de chantier, Carole me fit monter avec elle au dernier étage qui devait être réceptionné la semaine suivante et dont elle était si fière.

J’avais l’intention d’en profiter pour appuyer la candidature de Josiane, cependant lorsque Mlle T m’avoua dans l’ascenseur que cet immense appartement lui était réservé et qu’elle allait habiter dans cet immeuble, je me posais beaucoup de questions et laissai le sort en décider. Carole m’avait noyé de parole pendant toute la visite, je n’arrivais pas à me concentrer. Aussi difficile et exigeante qu’elle put être pendant les travaux, aussi heureuse elle était aux vues des résultats finaux. Ce fut elle qui me parla de la candidature de Josiane :
— Dis-moi Micka, ton épouse m’a une nouvelle fois appelé, elle tient beaucoup à ce poste, pourquoi ne m’en a tu pas parlé ?

Je ne savais plus comment réagir, je n’étais pas certain que nous faisions le bon choix. D’un autre côté, je pensais à Josiane, je ne pouvais pas lui faire ça, elle misait beaucoup sur cet emploi.
Avec tous les avantages en nature, nous pourrions vraiment être satisfaits :
— C’est vrai ! Elle compte beaucoup sur ce travail.
— Tu vois pour ce genre de boulot, il me faut un couple motivé, pas seulement une gardienne car un homme à plus de pouvoir pour faire respecter le règlement intérieur auprès des jeunes étudiantes qui aiment faire la fête, voire même quelques folies de leur corps. Mais le mari doit aussi être capable de réaliser les petits travaux de bricolage si nécessaire (changement d'ampoule, changement de fusibles, remise du compteur, petite plomberie etc…) Ta femme m’a dit le plus grand bien sur toi, elle sait que tu serais l’homme de la situation mais tu ne me le montres pas. Sur mon bureau, j’ai deux dossiers de candidates mon choix n’est pas encore arrêté. Veux-tu vraiment que ta femme obtienne ce poste ?

Je ne pouvais plus dire non, Josiane ne me le pardonnerait jamais et après tout, je devais mettre ma fierté de côté. Depuis, Carole ne m’avait plus aguiché, même si elle était toujours aussi sexy, très exigeante et capricieuse, elle essayait d’être sympa avec moi :
— Bien entendu, nous serions le couple idéal pour l’immeuble.

Nous étions debout face à face devant le plan de travail de la cuisine, malgré mes 1,83 m, elle était presque aussi grande que moi avec ses hauts talons. Maintenant qu’elle connaissait Josiane, un petit bout de femme, un peu rondelette depuis son accouchement, elle joua avec son physique de bimbo. Je dois l’avouer, elle était superbe, avec ses longs cheveux blonds bouclés qui tombaient sur ses épaules, elle se plaqua contre moi, passa ses deux mains derrière mon dos au niveau de la ceinture, nos visages n’étaient plus qu’à quelques centimètres l’un de l’autre. Je pensais qu’elle allait une nouvelle fois m’embrasser mais elle pencha sa tête et me dit à l’oreille :
— Ça ne dépend plus que de toi. Ça fait presque un an que j’attends ce moment. Me dit-elle en appuyant ses mains sur le haut de mes fesses.

Carole me faisait de l’effet, c’était indéniable, je devais me rendre à l’évidence et lorsque qu’elle posa ses lèvres sur les miennes, j’ouvris les miennes, je m’étais abandonné, nos langues tournoyèrent dans nos bouches, je l’étreignais à présent, elle se frottais contre mon sexe qui prenait du volume, je ne pouvais le nier, j’avais très envie d’elle. Cependant j’essayai de reprendre le contrôle :
— Carole ! Est-on obligé d’en passer par là ? Tu es superbe, tu peux te taper tous les mecs que tu veux. Pourquoi moi ?
— Un caprice sans doute ! Tu es beau Micka, je t’ai inscrit sur mon tableau de chasse dès que je t’ai vu et je n’aime pas l’échec.
— J’aime Josiane, tu le sais, je ne pourrai pas.
— Ah oui ? Ne me dis surtout pas que je te fais aucun effet.

Afin de me le prouver, elle passa sa main sur mon sexe au-dessus du pantalon. J’étais tétanisé mais très excité lorsqu’elle déboucla ma ceinture, enleva le bouton et descendit le zip de ma braguette. Sans rien dire elle baissa mon pantalon et mon boxer, s’accroupit devant moi, embrassa le bout de mon gland puis lécha la peau de ma hampe sur toute la longueur avant de dire : « Tu es bien monté dis donc. » Elle passa une main sur mes testicules, l’autre sur la base de ma verge et avala mon gland, passant sa langue tout autour puis enfonça mon pénis un peu plus dans sa bouche avant de faire des allers-retours avec son visage tout en me regardant.

Je ne pensais plus qu’au plaisir qu’elle me procurait, sa fellation était rythmée mais douce, j’avais mes mains sur sa tête, je lui caressais le crâne et ses cheveux pendant qu’elle me suçait et me massait l’entrejambe. Je ne pourrais plus dire combien de temps cela avait duré mais je n’en pouvais plus. Elle se releva, sans complexe elle retira sa petite culotte, releva sa jupe et s’assit sur le plan de travail en m’attirant vers elle en disant : « Vas-y Micka prends-moi là, maintenant. » Me tendant son sexe, j’appréciai sa fine toison claire sur son pubis, ma main passa sur sa fente, elle mouillait déjà. Tant qu’à faire, j’avais bien l’intention d’en profiter un maximum, je ne voulais pas la baiser comme un lapin.

Je pris mon temps, je lui retirai la veste de son tailleur, la posa sur une chaise et défit un à un tous les boutons de son chemisier. Son soutien-gorge était très joli, tout en dentelle. Je sortis ses deux seins magnifiques de leur bonnet et tout en insinuant mon majeur dans sa petite chatte, je me mis à sucer ses tétons un à un. Ma masturbation la mettait dans un état second, elle gémissait fortement en secouant la tête, ses bras en arrière, ses mains ne parvenaient pas à s’accrocher au plan de travail. Elle se raidit en se relavant, m’agrippa par les épaules et jouit sous mes doigts : « Oh Oui, c’est bon. »

Je me couchai sur elle et nous étions embrassés le temps qu’elle reprenne ses esprits. Le moment était venu, je lui passai sa jambe droite sur mon épaule et présentai mon gland devant sa fente qui ruisselait encore. Sans plus attendre, je la pénétrai d’un seul coup, j’étais rentré facilement et je la labourais rudement, elle gémissait toujours, sa respiration s’accélérait et j’étais assez fier de la dominer car dans le travail je ne le pouvais pas et c’était l’occasion de prendre ma revanche. Lorsqu’elle me dit qu’elle allait venir, je me retirai :
— Retourne-toi maintenant. Lui ordonnais-je.

À présent, je le prenais par derrière, c’était pour moi un bon moyen de la soumettre. Elle criait, mes coups de boutoirs étaient à la limite de la brutalité mais cela n’avait pas l’air de lui déplaire car ses petits « Oui ! Oh Oui ! » elle les renouvelait en permanence. Je sentais monté en moi le désir, elle allait une nouvelle fois atteindre l’orgasme. Désirant la faire patienter encore, j’avais une nouvelle fois retiré ma verge turgescente et dure comme un bâton de sa chatte trempée. Je la fis mettre à quatre pattes au milieu de la cuisine, elle était entièrement à ma merci.

Je l’astiquai avec mes deux doigts pendant de longues secondes et lorsqu’elle approchait de la jouissance, j’arrêtais. Elle était folle, me criait de la baiser, je voulais bien la faire attendre encore un peu plus, cependant je n’en pouvais plus non plus, il fallait que je me vide les couilles. Je m’étais mis à genoux derrière elle et l’avais prise comme une bête en lui triturant ses mamelons. Ce fut dans un concert de couinement, de petits cris et un grand râle que je m’étais déversé au plus profond de son vagin. Nous venions de jouir puissamment tous les deux en même temps. Nous nous étions couchés sur le parquet flottant « type pont de bateau » afin de récupérer :
— C’était super Micka ! Bien mieux de ce que j’avais pu imaginer.
— Merci Carole ! Tu as raison, c’était bien. Mais maintenant, j’aimerais que tu me promettes que tu me laisseras tranquille.

Carole n’avait pas tout à fait promis, elle détourna ses propos en me disant que je pouvais rassurer Josiane. En effet elle ne m’avait pas menti, nous étions allés avec mon épouse signer le contrat la semaine suivante et jusqu’à la réception des travaux, elle ne m’avait plus approché. J’en étais même à le regretter, j’avais tellement apprécié cette partie de jambes en l’air que si elle m’avait demandé de renouveler l’expérience je ne savais pas si j’étais capable de lui refuser. Un mois plus tard, nous avions emménagé, Josiane prenait ses fonctions une semaine avant que les studios soient loués. Lors du pot organisé dans notre cabinet pour fêter la fin de chantier, Carole me demanda discrètement si je voulais bien refaire l’amour avec elle une dernière fois. Je lui répondis tout de suite « Oui mais pas ici » :
— Viens éclipsons nous, retrouvons-nous dans mon appartement.

Josiane savait que je rentrerais tard, elle ne s’inquiéta donc pas de me voir rentrer à point d’heure. En attendant, Carole s’était donnée à moi comme une morte de faim, elle fut gigantesque, elle m’avait épuisé dans son immense lit King-size. Je connu avec elle, ce que je ne parvenais pas à faire avec Josiane : « la sodomie. » Je n’avais pas du tout regretté ma soirée et lorsque je l’avais quittée, je fus même déçu de l’entendre dire :
— Je te le promets Micka ! C’était la dernière fois. Je ne voudrais surtout pas briser votre ménage. Josiane ne mérite pas ça.
— Tu as sans doute raison. Mais je tiens à te dire que tu as été fabuleuse et que ça va certainement me manquer.
— Moi aussi ! Mais mon fiancé arrive le mois prochain. Peut-être trouverons nous d’autres occasions qui sait. M’avait-elle dit calmement en me faisant une bise sur mes lèvres.

Un mois plus tard, Carole avait abandonné son magnifique appartement pour vivre chez son fiancé, je ne la voyais plus. Ce métier plaisait beaucoup à Josiane, elle s’entendait bien avec les jeunes étudiante, quant à moi, j’assurais mes devoirs sans plus, jusqu’au jour où… Mais cela est une autre histoire que je vous raconterai samedi dans un autre récit.

Chères lectrices et chers lecteurs, merci de laisser vos commentaires, je compte sur vous. Si comme Mickael, vous avez envie de raconter vos histoires d’amour ou de sexe, contactez-moi par Email, avec votre collaboration, j’écrirai votre propre récit. cyp.perruche@orange.fr

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